Rétrospective jap : Monster Hunter

C’est l’incroyable phénomène de cette génération de console qui se termine. Rentré par la petite porte sur PS2 avec des ventes respectables mais finalement plutôt conventionnelles, la série a finalement explosé, à la surprise générale, sur PSP. Il faut dire que si Monster Hunter a, à la base, été construit autour d’un hack’n’slash qui puise […]

C’est l’incroyable phénomène de cette génération de console qui se termine. Rentré par la petite porte sur PS2 avec des ventes respectables mais finalement plutôt conventionnelles, la série a finalement explosé, à la surprise générale, sur PSP. Il faut dire que si Monster Hunter a, à la base, été construit autour d’un hack’n’slash qui puise son intérêt du multijoueur en ligne, de ce plaisir d’allier ses forces entre joueur pour affronter les colossaux ennemis du jeu, il s’est révélé en fin de compte surtout efficace avec son multijoueur local, possible uniquement sur une console portable où chaque joueur a son propre écran. Un exploit qui n’est quasiment possible qu’au Japon, où même le grand public peut accrocher à ce principe qui conduit les aventuriers à se rassembler n’importe où, jusque dans les lieux publics, ce qui forcément aide le phénomène à se concrétiser. C’est au final devenu la série la plus populaire de Capcom, et même plus, puisqu’aucun Final Fantasy ou Dragon Quest n’a pu atteindre des ventes aussi énormes que les deux derniers épisodes de la PSP. Voilà jusqu’où va la force de cette série : Monster Hunter 3 Portable n’est autre que le jeu non-Nintendo le plus vendu de l’histoire du Japon, rien que ça.

Source : Toutes les données proviennent de Famitsu/Enterbrain et représentent les ventes réelles réalisées depuis les revendeurs aux clients.

Sur console de salon

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Spin-off

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