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Les ventes de Namco Bandai en 2011-2012
Comme d’habitude, Namco Bandai est assez vague ou peu pointilleux dans la publication de ses résultats. S’il est logique de découvrir des ventes de Dark Souls qui n’incluent pas le Japon, puisque le jeu est édité directement par From Software sur ses terres natales (plus de 300 000 exemplaires vendus, ce qui fait un total […]
Comme d’habitude, Namco Bandai est assez vague ou peu pointilleux dans la publication de ses résultats. S’il est logique de découvrir des ventes de Dark Souls qui n’incluent pas le Japon, puisque le jeu est édité directement par From Software sur ses terres natales (plus de 300 000 exemplaires vendus, ce qui fait un total mondial qui doit se situer approximativement à 1,6 million d’exemplaires distribués), il est plus étonnant de voir que le résultat de SoulCalibur V n’inclut pas les ventes américaines. Ce qui, il faut bien le dire, constitue peut-être une erreur étant donné qu’un score de 690 000 exemplaires distribués au niveau mondial reste possible, vu les résultats dérisoires du jeu. Pour comparer, SoulCalibur III s’était écoulé à 1,02 million d’exemplaires dans le Monde sur sa première année, puis à 400 000 exemplaires l’année suivante (à petit prix). Quant à SoulCalibur IV, il s’était écoulé à 2,32 millions d’exemplaires sa première année (ce qui correspondait tout de même à environ 8 mois comptabilisés contre environ 2 pour SCV).
Autre manquement assez étrange : pas de nouvelles des résultats du dernier Naruto, qui devrait pourtant logiquement faire partie de ce classement étant donné ses ventes assez bonnes aux Etats-Unis et au Japon, et le jeu s’est également plutôt bien positionné en Europe. Son prédécesseur avait, l’année dernière, dépassé le million. Dans le même domaine, on découvre le score du dernier Dragon Ball, série annuelle chez Namco Bandai, et qui progresse un peu après les résultats très moyens de Raging Blast 2. On finit donc avec un graphique qui montre surtout la déchéance de la série depuis l’époque Budokai Tenkaichi, et notez bien que si les anciens épisodes n’inclut pas les ventes américaines, c’est simplement parce qu’auparavant les droits d’adaptations de Dragon Ball sur le territoire nord-américain étaient détenus par Atari/Infogrames, qui se chargeait donc d’éditer les jeux là bas. Namco Bandai a depuis racheté ces droits.
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