Ook ook !

Toki, jeu d’action / plateforme, classique de l’arcade de la fin des années 80 est donc ressorti dans une version bien retapée sur Switch !
Le tout dans une édition nommée « Retrocollector ».
Avec du boulot de monsieur Philippe Dessoly, qui a notamment bossé sur Mister Nutz, Albator, Ulysse 31, et surtout… SURTOUT, Goldorak. Bref, un bon petit feeling nostalgique pour nos autres trentenaires.

Voyons donc de quoi il s’agit.

Déballage

Malgré le contenu annoncé (une PUTAIN de borne en bois !), la taille de la boîte est relativement modeste.

Vous me direz « soit la boîte est effectivement d’une taille modeste », soit « bon sang mais ce chat est énorme ! ».
Aussi je vous propose un autre repère d’échelle.

Bref !
Une fois la véritable boîte glissée hors de son fourreau, on pourra admirer le deuxième très joli artwork.

Place au bordel à l’intérieur.
Au menu :

• deux lithographies
• une planche d’autocollants
• une BD
• la borne en bois (PUTAIN !)
• et le jeu

 

La BD est en français dans le premier sens…

… et en anglais dans l’autre sens.

Ce qui fait qu’au milieu, elle est dans les deux langues.
Truc de foudingue !

Après une rapide vue de l’artwork à l’intérieur de la boîte du jeu…

… passons sans plus d’attente au…

Montage !

Rien de sorcier.
Des pièces de bois (contreplaqué, vu le prix de l’édition, 50€, ne vous attendez pas à du chêne massif !) avec des inserts pré-découpés pour les emboîter les unes dans les autres.
Après un petit moment, on arrive sans effort à ce résultat :

Mais le tout semble alors un peu fragile.
En effet, les pièces ont vite fait de se déboîter les unes des autres.
C’est pourquoi la notice, fournie, fait mention de l’utilisation d’élastiques, non fournis, à enrouler autour des inserts pour solidifier le tout.

Qu’à cela ne tienne !
Si les élastiques sont introuvables dans les pièces fournies, il est temps d’aller donner une seconde vie à la tonne d’élastiques qu’on a acheté en pleine folie des Rainbow Loom.
Et ça tombe bien, j’en avais pile dans un ton qui ne jure pas trop avec la décoration de la borne (bleu turquoise pour les curieux).

Contemplation

Et voilà !
Un fort bel objet.

L’écran de la Switch s’installe sans mal à l’intérieur.
J’ai quand même eu une petite peur de le rayer pour le retirer de son emplacement.
Mais c’est parce que j’y tiens, parce qu’il n’en fut (heureusement) rien.

Bien joué Microïds.
Bien joué Just for Games.

Et pour ceux qui aurait encore un doute sur la taille de l’objet, une dernière photo avec un rapport d’échelle.